
Alcoolique, ce romancier sans talent se promit, après l’échec cuisant de son troisième livre, de ne plus boire d’alcool qu’entre deux histoires qu’il écrirait. C’est ainsi qu’il devint en à peine quelques mois un maître incontesté dans l’art difficile de la micro-nouvelle.
Et mourut, comme on peut s’y attendre, non d’une cirrhose du foie mais d’une mauvaise chute.
(extrait d'un recueil à paraître)
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